Jeunes Algeriens
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 Alger la blanche

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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche - Page 2 Icon_minitimeLun 5 Mai 2008 - 17:03

El Khit Errouh ou El Zerouf, un bijou qui rehausse la beauté de la femme algérienne

Alger la blanche - Page 2 Khitrouhsa5
Appelé "el Khit errouh" en dialecte algérois, qui signifie littéralement "le fil de l'âme"ou encore "Zerouf" dans le dialecte tlemceni, ce bijou orne le front ou le cou de la mariée d'une belle manière.

L'Algéroise le met sur le front sur la maharma (le fameux foulard long que les algéroises portent traditionnellement sur la tête). Les algéroises le portent exclusivement avec le karakou, mais quand elles portent une autre tenue, il est mis au cou.

Le khit erouh est constitué de petites "boules" serties de pierres. Il est constitué généralement en or avec des pierres précieuses, cela dépend évidement du statut de la famille. Une famille fortunée, par exemple, n'hésitera pas à le fabriquer avec des pierres de grandes valeurs, tel le diamant. Il peut être assorti à des boucles d'oreilles, à une bague ou à un bracelet, que l'artisan bijoutier fabriquera à la demande des intéressées.

La forme du "Khit errouh" est aussi particulière, il se compose de petites composantes en forme de rond incrustées de pierres précieuses, au centre la forme est beaucoup plus grande avec bien évidemment plusieurs pierres incrustées. Sur cette forme est attachée une autre partie en forme de goutte d'eau assez grande, il en est de même pour les deux petites boules accolées à la boule centrale (Voir photo).

En général, les parents fabriquent un "Khit errouh" pour la constitution du trousseau de leur fille. Sinon, ils peuvent l'exiger en guise de dote.

Ce bijou, ancré dans les traditions algériennes millénaires, se garde tout au long d'une vie, les mères ont même un plaisir à le léguer à leur fille. Certaines familles possèdent des "Khit errouh" qui ont traversé les générations et qui valent une fortune.
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Bijoul
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche - Page 2 Icon_minitimeVen 16 Mai 2008 - 23:30

aprés avoire fait un grand tour a la Casbah ont fait une petit déssente a Bab El Oued le cartier ou jai grandis Very Happy voila un présentation de mon cher cartier Smile
Bab El Oued


Alger la blanche - Page 2 300px-10

Bab El-Oued (la Porte de la Rivière) est un quartier populaire d'Alger, capitale de l'Algérie. Le quartier de Bab El-Oued est délimité au nord-est par le front de mer (boulevard Mira), à l'ouest par la commune de Bologhine et la colline de Bainem, au sud-ouest par la commune de Frais-Vallon (Oued Koriche) et à l'est par la Casbah. Situé en contrebas de la colline de Bouzareah . Célèbre par sa « Place des Trois Horloges » et par son « marché Triolet », c'est aussi un quartier d'ateliers et de manufactures. Le quartier comptait 99 152 habitants en 2000[3] et est le chef lieu d'un daïra du même nom.

Histoire
Le quartier tire son nom de la porte (báb) qui ouvrait sur l'oued M'kacel qui s'écoule depuis les hauteurs de Bouzareah, à l'époque de l'Alger ottomane.

Un quartier s'y développe à la suite de la colonisation française de 1830 se peuplant essentiellement d'émigrants français au cours de la deuxième partie du XIX siècle. Ainsi, durant la période coloniale française, et jusqu'en 1962, Bab El-Oued est le principal quartier populaire européen de la ville.

Évènements dramatiques
Durant la guerre d'Algérie, le quartier, toujours essentiellement européen, fut l'un des bastions de l'OAS. Suite aux meurtres d'appelés par cette dernière le 22 mars 1962[4], le quartier est isolé du reste d'Alger par les forces de l'ordre et par l'armée. L'OAS organise alors une contre manifestation pour tenter de désenclaver le quartier, manifestation qui se solde par la fusillade de la rue d'Isly[4].

En octobre 1988, Bab El-Oued fut à nouveau le théâtre d'évènements meurtriers : suite à des émeutes qui enflamment le quartier et se généralisent dans le pays[5], les forces de l'ordre ouvrent le feu, faisant plusieurs dizaines de victimes, souvent très jeunes.

Le 10 novembre 2001, à la suite de pluies diluviennes des torrents de boue engloutissent de nombreuses habitations ainsi que la vaste place du marché Triolet, faisant plus de 700 victimes et laissant un quartier ravagé en à peine trois heures[6].
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche - Page 2 Icon_minitimeVen 16 Mai 2008 - 23:59

Thanks Adel pour l'article sa fait plaisir et fiere d'etre de ce quartier Wink je voulais juste rajouter quelque chose Cool
Le quartier de Bab-el-Oued

Histoire
S'étendant à l'ouest de la Casbah, au-delà de la "porte de la rivière" (bab el-oued), le quartier de Bab el-Oued a connu après 1830 une forte émigration d'Européens de condition modeste, principalement d'origine espagnole. L'augmentation de la population (80 000 habitants en 1950) amena les autorités à élargir les axes et édifier des immeubles plus hauts, construits dans un style colonial, se substituant aux anciennes demeures mauresques. Au début du XXème siècle, Bab el-Oued symbolise l'Alger populaire au langage bigarré, mélange de catalan, de castillan, de français, d'arabe, de provençal, de napolitain et de sicilien.

La catastrophe naturelle du 10 novembre 2002 Le quartier de Bab el-Oued est délimité au nord-est par le front de mer (boulevard Mira), à l'ouest par la commune de Bologhine et la colline de Bainem, au sud-ouest par la commune de Frais-Vallon (oued Koriche) et à l'est par la Casbah. Situé en contrebas de la colline, le quartier a été touché de plein fouet par les torrents de boue qui ont dévalé jusqu'à la mer (670 victimes sur un total de 700 à Alger et environ 150 disparus). Après plusieurs mois de sécheresse, les terres dans les hauteurs d'Alger se sont brutalement gorgées d'eau : non retenues en raison du déboisement et des constructions sauvages dans les hauteurs de Bab el-Oued, elles ont glissé, se transformant en torrents de boue qui ont obstrué les voies d'évacuation des eaux et aggravé l'ampleur des inondations.

Environ 900 familles, déclarées sinistrées, ont été relogées dans de nouveaux appartements, des établissements publics et des centres de transit à la périphérie d'Alger. Les services de la wilaya entreprennent le recensement des immeubles insalubres ou menaçant de s'écrouler, interdisant que les logements illégaux ou évacués lors de la catastrophe soient reconstruits ou réhabilités. Un plan d'urbanisme et de réhabilitation du quartier est actuellement à l'étude, en liaison avec la Ville de Paris. Les caves, les égouts et plusieurs ruelles sont encore obstrués par la boue. Les travaux d'évacuation, en dépit de l'importance des efforts et des moyens consentis, pourraient encore durer plusieurs mois.
Le quartier des trois horloges Ce quartier au coeur de Bab el-Oued a été réaménagé au début du XXème siècle. Il doit son nom à l'installation d'un lampadaire en fonte surmonté d'une horloge à trois cadrans, qui a longtemps rythmé la vie du quartier et qui continue à symboliser celui-ci. Les torrents de boue ont endommagé cette pièce (porte fonte, minuteries, aiguilles et horloge mère). La société française MAMIAS, qui avait déjà réparé l'ensemble en 1982, est en contact avec les Fontes de Paris et des sociétés algériennes en vue de procéder aux travaux de fonderie.

Le marché Triolet Dévasté par la catastrophe, ce marché se situe sur les hauteurs de Bab el-Oued, en contrebas de Frais-Vallon. Rasé lors des travaux de déblaiement, il témoigne de la violence avec laquelle les torrents de boue se sont déversés dans le quartier.

Le CHU de Bab el-Oued Constitué de l'hôpital Maillot au nord-ouest et de la clinique Gharafa (à 100 m en aval de la place des trois-horloges), le CHU a souffert des intempéries. Son personnel (2 500 personnes dont 350 médecins) s'est dévoué à la tâche lors des secours et a payé un lourd tribut à la catastrophe (une vingtaine de décès).
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche - Page 2 Icon_minitimeSam 17 Mai 2008 - 15:54

Christian TIMONER, Né à Bab El Oued en 1948 - Alger

NE A BAB EL OUED
Eh bien oui, je suis moi aussi de Bâb El Oued pour y être né en 1948 à la clinique Durando, tout près des Trois horloges, face au commissariat, en plein coeur de Bâb El Oued. Mon père joseph jean dit zézé est né en 1922 au n°41 rue Pierre Leroux (côte de la Bassetta), mon grand-père Thomas y était lui aussi né en 1898 rue de la Vigie.

A l'époque mes parents, mon frère, ma soeur et moi habitions un très beau petit village Cap Matifou à une vingtaine de kilomètres d'Alger. Monsieur Hamis nous louait une maison avec un jardin, collée au coiffeur, à l'entrée du village en venant d'Alger. Puis ma petite soeur est venue agrandir la famille. Avec la famille Arlandis, Alain et Marie France et nos mères nous faisions des promenades à la forêt des chiens, on ramassait des mûres et des feuilles qu'on donnait à manger aux vers à soie que nous avions dans des boites à chaussures. C'était à qui aurait le plus beau cocon. On allait aussi marcher de l'autre côté du village, derrière l'église pour aller au Marabout et jusqu'à l'école de l'air, tout en chantant : un kilomètre à pied ça use, ça use, un kilomètre à pied ça use nos souliers, deux kilomètres à pied...
On fabriquait aussi des cerfs volants avec des roseaux et on allait à la plage à Alger plage. Sans oublier toutes les bêtises que nous faisions...
Nous avions d'autres amis et voisins comme les Salin dont le père était pilote d'hélicoptère, ils avaient plusieurs enfants dont un s'appelait Alain. Il y avait aussi les Salor.
Mon père travaillant à la Grande Poste d'Alger (aux PTT, il s'occupait de l'éclairage et entre autre des illuminations de Noël, de l'installation du stand PTT de la foire d'Alger et d'Oran, ainsi que du magasin PTT rue Alfred Leluch) pour se rapprocher, nous avons déménagés en 1954 avec un pincement au coeur de devoir quitter nos amis.

Nous sommes allés habiter à Bab El Oued, au n°3 rue Massenet, à la hauteur du 80 avenue de la Bouzareah où habitaient mes grands-parents face aux escaliers de la rue Georges Feydeau où tous les collègues et moi-même avons usé nos cuissettes en glissant sur la rampe. En haut, à droite vivait la famille Dechouk, c'était une famille nombreuse, deux grands garçons, une fille et de mon âge il y avait Farid, Badradin et Fouad, et deux autres petits frères qui traînaient toujours entre nos jambes.
A gauche il y avait le collègue Jean Paul Nahon dont la mère était sage-femme. Face aux escaliers, en montant la côte, côté gauche, à l'angle de la rue Massenet et Feydeau, il y avait une villa où habitaient, Gérard Sebag et sa soeur Nelly, ainsi qu'une soeur aînée (voir photos diverses).
De l'autre côté au n°2 de la rue Massenet, faisant l'angle avec l'avenue de la Bouzareah, habitait Jojo dont le père était boucher, leur maison avait un jardin où nous jouions, au dessus de l'ancien atelier (dépôt) de M. Durin, situé au 101 avenue de la Bouzareah et dont le fils Robert était mon collègue.
A l'autre angle de la rue, il y avait son atelier, au 103 de l'avenue de la Bouzareah, où il fabriquait les oeufs de Pâques en sucre et en chocolat, les Pralines et il n'y en avait pas de MEILLEURES...
En montant l'avenue de la Bouzareah, il y avait les escaliers de la rue Bizet, puis l'usine à chaussures, la pharmacie et faisant l' angle avec le bas de l'entrée de la Montagnette, l'épicerie de Madame Joseph. Qui n'y a pas acheté quelques sous de bonbons?
Nous habitions au n°3, un tout petit appartement dont la propriétaire était Mme Pappalardo qui avait une fille Clairette Boccanfuso.
Il ne faut pas oublier que nous allions aussi à l'école, une bonne partie de notre temps. Les filles allaient à l'école Normandie. Les garçons, nous étions divisés en deux, une partie allait à l'école Lelièvre, et les autres comme moi, allions à l'ancienne école rue Léon Roches faisant angle avec la rue Maxime Noirè, puis à la nouvelle école, un peu plus haut rue Taine où étaient regroupées l'école des garçons et l'école des filles dont la mère de notre collègue Ali, était la concierge.

En 1958, nous quittons la rue MASSENET pour aller habiter les HLM flambants neufs, de la cité des EUCALYTUS, sur les hauteurs de Bab El Oued. J'habitais le bâtiment 3, au 7ème étage, face à Notre Dame d'Afrique, à droite la mer avec le stade Marcel CERDAN et à gauche la carrière JAUBERT. Le bâtiment situé le plus haut, était le bâtiment 1, face à la gendarmerie où une fois par semaine s'installait le marché BABEZDID. Tous les jours, on voyait aussi les bourricots chargés de paniers vides qui montaient, en file indienne, le chemin d'El-Kettar qui longeait le cimetière, puis ils empruntaient la rue du Docteur Bentami pour atteindre la Casbah. Après avoir été chargés d'ordures, ils redescendaient pour aller vider le contenu de leurs paniers. A côté le bâtiment 2, dont les entrées étaient face au cimetière musulman d'El-Kettar, derrière ce bâtiment il y avait un terrain vague en tuf où on jouait au foot, et à la pétanque. Mon frère s'en donnait à coeur joie, d'ailleurs il est devenu champion d'Alger de pétanque en triplette, puis vice champion de France à Clermont-Ferrand avec la même triplette STARCK et MASCARRO du club OHD, ils sont devenus champions d'ALGERIE et d'AFRIQUE du NORD à Oran. En 1961, j'ai fait équipe avec mon frère au championnat d'Alger où nous avons perdu en quart de finale. Beaucoup plus tard, il est finaliste de la MARSEILLAISE avec une autre équipe ALBERINI et RIVOIRA avec le club de l'ASPTT Marseille.
En dessous, le bâtiment 8, dernier à avoir été construit, était une tour située face à la prison Barberousse et à côté de l'école Aurélie Tidjani. En contrebas, le bâtiment 3, puis il y avait trois grands immeubles identiques, les bâtiments 4, 5 et 6 qui partaient du terrain vague qui était en fait l'entrée de la citée. Sur ce terrain où nous faisions des petits tournois de foot, se trouvait une chapelle en bois qui avait été construite après notre arrivée, on pouvait traverser ces grands immeubles en empruntant un long couloir. Pour aller au centre de Bab El Oued, on pouvait prendre l'ascenseur payant qui arrivait dans la rue Mizon. En voiture, il fallait prendre la Rampe Valée, où se trouvait, dans l'angle des deux rues, le bâtiment 7.
Malgré les évènements, nous nous entendions tous bien dans le quartier, comme à l'école, toutes origines confondues. Nous n'aurions jamais pensé nous quitter sans même se dire un au revoir. Mais pourquoi pas, peut-être, se revoir un jour ?

En 1979, le manque de l'ALGERIE était si fort que j'ai souhaité y retourner. Ma femme étant une pathos elle ne connaissait pas ce pays, mais elle fut enchantée en découvrant tous ces paysages et bien sûr les lieux où j'avais vécu.
Mais la nostalgie étant toujours plus forte, je fis des recherches sur mes derniers collègues d'ALGERIE des EUCALYPTUS et nous nous sommes retrouvés aux Pennes Mirabeau dans les Bouches du Rhône en 1990 et 1992 pour fêter nos retrouvailles.

Je vous ai raconté un peu de ma jeunesse et que ceux qui se reconnaissent se manifestent, cela me ferait plaisir. Aujourd'hui, grâce à Internet, aux photos d'école, et aux messages, j'espère retrouver ceux qui ont fait cette histoire car se rappeler de tous les noms est difficile.
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche - Page 2 Icon_minitimeSam 17 Mai 2008 - 16:03

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Voila L'ecole le lievre de Bab El OUED
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L'ecole Normandie et c'etait aussi mon CEM Cool
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Voila comme on la nome a Bab El oued "DJNINA" C'est ou on trouve ADEL et Japonni Laughing
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche - Page 2 Icon_minitimeSam 17 Mai 2008 - 16:24

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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche - Page 2 Icon_minitimeDim 18 Mai 2008 - 13:09

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