Jeunes Algeriens
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 Alger la blanche

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MessageSujet: Alger la blanche   Alger la blanche Icon_minitimeMer 30 Avr 2008 - 13:33

Alger la blanche Alger_10
La Casbah d'Alger

La Casbah d'Alger a été inscrite sur la Liste du patrimoine mondial à la 16e session du Comité, en décembre 1992.
Est communément appelée la zone comprenant la Casbah proprement dite (forteresse) et toute la vieille ville d'el- Djazaïr située entre ce fort et le bord de mer.

en 1516, le corsaire turc Khaïr al-Din installe sa capitale à Alger. Il en fait une ville fortifiée en construisant d'imposants remparts, qui sont à l'origine de la Casbah. Six portes assurent la liaison entre la vieille ville, le port et le reste du pays. L'accroissement de la ville se traduit par un développement des espaces bâtis, notamment de maisons à étage. Même si, à l'époque, les Ottomans sont présent le long d'une grande partie du littoral algérien, le pouvoir turc intervient peu dans les affaires locales d'Alger. Le bey Khaïr al-Din fait prospérer la ville en combinant la force militaire et le développement du commerce. La ville est prospère jusqu'au XVIIe siècle. Dans la ville se conjuguent alors les traditions turques et arabes.

[img]Alger la blanche Casbah1nl4[/img]
[img]Alger la blanche Casbah4kc3[/img][img]Alger la blanche Casbah3wt1[/img]
Aux alentours de 1920, naît un vériTABLE intérêt pour la sauvegarde de la vieille ville. Les premières études pour la sauvegarde du site de la Casbah d'Alger sont conduites dans les années 70. Un plan d'aménagement de la Casbah est mis en oeuvre à partir de 1981. Il porte en particulier sur le bâti de la période 1816-1830 pour mettre en valeur la ville à l'époque de l'influence ottomane, 1816 étant la date à laquelle le centre politico-administratif fut transféré à la citadelle ; ce déplacement a entraîné un nouveau flux de population vers la haute ville. Il a été notamment suivi d'un plan d'action-programme prioritaire en 1985 et d'un plan directeur d'aménagement et d'urbanisme en 1992. Le plan de restauration actuellement en cours correspond parfaitement aux besoins de la vieille ville : il s'agit notamment de restaurer et de réhabiliter le tissu historique. en plus de sa richesse artistique, la vieille ville est un précieux témoin de l'histoire de l'Algérie.
La Casbah s'étend en effet sur 45 hectares et témoigne d'une forme urbaine homogène dans un site original et accidenté (118 mètres de dénivellation). La richesse de la ville se traduit par les décorations intérieures des habitations, souvent ordonnées autour d'une cour carrée centrale faisant atrium. Les rues tortueuses et pentues constituent aussi un élément caractéristique de la vieille ville. elle abrite également douze mosquées dont la mosquée Djamâa el-Kébir du XIe siècle. La citadelle qui abritait plusieurs palais résidentiels et édifices religieux o? siégeait le pouvoir algérien avant 1830 fait l'objet depuis 1985 d'un vaste plan de restauration.


Dernière édition par London le Mer 30 Avr 2008 - 14:11, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche Icon_minitimeMer 30 Avr 2008 - 13:39

[img]Alger la blanche Wasstdardn8[/img]

A l'origine le mot "Casbah" désignait la citadelle qui surplombait la ville "la médina", peu à peu le terme engloba la cité elle-même. Les remparts qui protégeaient la Casbah, ainsi que le haut et le bas de la cité ont aujourd'hui disparus. "Construisant leur casbah, les anciens avaient atteint au chef-d'oeuvre d'architecture et d'urbanisme" disait le Corbusier.
La Casbah d'Alger a été inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l'humanité en décembre 1992. Est communément appelée "Casbah" la zone comprenant la Casbah proprement dite (forteresse) et toute la vieille ville d'el- Djazaïr située entre ce fort et le bord de mer. En 1516, le corsaire turc Khaïr al-Din installe sa capitale à Alger. Il en fait une ville fortifiée en construisant d'imposants remparts, qui sont à l'origine de la Casbah. Au dela de sa richesse artistique, la vieille ville est un précieux témoin de l'histoire de l'Algérie. La Casbah s'étend en effet sur 45 hectares et témoigne d'une forme urbaine homogène dans un site original et accidenté (118 mètres de dénivellation). La richesse de la ville se traduit par les décorations intérieures des habitations, souvent ordonnées autour d'une cour carrée centrale faisant atrium. Les rues tortueuses et pentues constituent aussi un élément caractéristique de la vieille ville. elle abrite également douze mosquées dont la mosquée Djamâa el-Kébir du XIe siècle.
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche Icon_minitimeMer 30 Avr 2008 - 13:43

sujet intéréssent nina Cool ya aussi Djamaa Ketchaoua qui est un autre mosqué encien aussi

*-*-*-*-*-*-*-*KETCHAOUA*-*-*-*-*-*-*-*-*
Au pied de la Casbah et au bout de la rue Bab Azoun, ce monument d’architecture mauresque veille du haut de ses deux minarets sur la médina (la ville).

Bâtie vers 1612-1613 sous l'empire ottoman, elle est reconstruite et agrandie vers 1794 par le Dey Hassan.

Une légende algéroise raconte qu'elle doit son nom à son ancienne fonction de bergerie, en effet, 'Ketchaoua' viendrait de 'kech', terme usité pour faire avancer les chèvres.

Dès l'occupation française, elle est convertie en église catholique. Elle fut

inaugurée en tant que telle le 25 décembre 1832 pour la messe de Noël. A cette occasion, le Muphti écrivit au duc de Rovigo : "Notre mosquée changera de culte sans changer de maître. Vous pouviez vous emparer de ce temple, vous ne l'avez pas fait. Loin de là, vous nous l'avez demandé... " .

Transformée en Cathédrale St Philippe en 1845, l'édifice religieux connaît de nombreux aménagements jusqu'en 1860, période durant laquelle les architectes se succédaient pour démolir les travaux des prédécesseurs.

D'importants travaux d'agrandissement sont entrepris de 1853 à 1860, la mosquée initiale n'occupa plus que le chœur de la cathédrale. Elle perdit alors tout son style oriental pour adopter une imposante architecture baroque très différente de celle des mosquées et constructions avoisinantes.

Dès l'indépendance en 1962, Djemâa Ketchaoua retrouve sa vocation originelle et voit son retour à la religion musulmane sans subir pour autant de nouveaux travaux d'aménagement.
Alger la blanche Ketch_10

Surprenant mélange romano-byzantin et turco-arabe, Djamâa Ketchaoua témoigne plus que toute autre mosquée des bouleversements qu’a connus la ville d’Alger ces quatre derniers siècles; elle relate en outre la présence des corsaires et des turcs.

Au centre d’un quartier commerçant très animé, Djamâa Ketchaoua est aujourd’hui la mosquée qui nous parle le mieux de l’histoire d’Alger et de l’héritage des cultures brassées autour du bassin méditerranéen.
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MessageSujet: La Casbah d’Alger délaissée et oubliée   Alger la blanche Icon_minitimeMer 30 Avr 2008 - 13:48

La Casbah d’Alger a été classée en 1991 patrimoine national et en 1992 patrimoine universel par l’Unesco.


Le 23 février est une journée nationale destinée à célébrer la Casbah d’Alger, classée en 1991 patrimoine national et en 1992 patrimoine universel par l’Unesco. A quelques jours de la célébration de cette journée, plusieurs manifestations étaient annoncées dans des lieux culturels symboliques de la Casbah et de ses alentours (palais du Dey, Bastion 23, place des Martyrs, Théâtre national algérien et Cinémathèque). Mais le jour venu, la Casbah d’Alger est tout simplement ignorée, oubliée, délaissée. Au pied de la citadelle, le Bastion 23 était censé rendre hommage à l’antique médina à travers des conférences sur son histoire depuis sa construction par les Ottomans jusqu’à aujourd’hui, en passant par l’époque coloniale et la période de la révolution. Il n’en sera rien. C’est le calme plat, ni conférenciers ni effervescence des grands jours, juste quelques employées qui vaquent à leurs occupations. Ils nous expliquent qu’il « n’y avait aucune activité pour la journée ». Mais que le lendemain était prévu le vernissage d’une exposition « qui n’est pas encore installée » et que « peut-être, elle aura un rapport avec la Casbah ».

Après cette triste image, direction l’APC de la Casbah. Sur des fiches cartonnées, il est inscrit : « Célébrons le 23 février, journée nationale de la Casbah pour rendre hommage à notre patrimoine ancestral. » Au cœur de la cité, c’est une pathétique image qui s’offre aux badauds. En effet, la célébration a été marquée par l’initiative de l’association Assala Oua Affak à travers l’exposition d’une dizaine de photos anciennes de la Casbah. Fatiha, la représentante de l’association, expliquera que celle-ci a essayé de présenter grâce à l’exposition des facettes de la vie quotidienne à la Casbah d’Alger, à travers les tenues traditionnelles, les petit métiers, les rues célèbres telles que Marengo, du Chameau, Tombouctou et, bien sûr, l’incontournable Sidi Abdallah. Mais le hic, c’est que ces photos ne sont que des copies agrandies des cartes postales de l’époque coloniale destinées à satisfaire le penchant exotique et orientaliste des habitants de la métropole d’alors. Ainsi, sur certaines photos sont inscrits les stigmates des stéréotypes de l’époque propre au colonisateur, à l’instar de Belle Fatma, Ya Ouled petit cireur, Ya Ouled vendeur de journaux... Est-ce cela l’héritage que l’on veut transmettre aux générations futures ?

Synthèse de Rayane, www.algerie-dz.com
D’après La Tribune
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MessageSujet: Mosquée Ketchaoua   Alger la blanche Icon_minitimeMer 30 Avr 2008 - 13:53

Mosquée Ketchaoua

[img]Alger la blanche Djamaakatchaouads8[/img]
La conception des mosquées de la période turque à Alger répond à des types nouveaux au Maghreb central. L'ancienne mosquée Ketchaoua, située à la fin de la rue Bouzrina, anciennement rue de la lyre et qui fut construite par Hussein pacha en 1794-1795, appartient à un de ces types. Son plan correspond à une salle carrée, surmontée d'une coupole centrale, avec dos galeries à coupolettes. Similaire au plan de la mosquée Ali Betchine (qui est le plus ancien monument de ce type qui nous soit parvenu -1622-), elle a conservé les dispositions essentielles de sa construction primitive. Les relevés et les croquis réalisés avant sa modification montrent bien l'appartenance de ce plan à un type particulier de mosquée. La salle principale, de forme carrée et couronnée d'une grande coupole centrale à base octogonale, était entourée de galeries, dont deux sur le côté opposé au mur de la kibla (direction de La Mecque). Les petites coupoles des galeries étaient à base octogonale, avec pendentifs, excepté quatre d'entre elles, qui étaient à base circulaire, se raccordant au plan inférieur par des trompes. La coupole centrale était supportée par de hautes et imposantes colonnes de marbre, aux chapiteaux massifs ornés de feuilles d'acanthe. Le minaret d'origine se trouvait à l'arrière de la double rangée de galeries et donnait sur l'ancienne rue du Diwan. Les travaux réalisés agrandirent considérablement l'édifice et le dotèrent d'un escalier monumental donnant sur la place et de deux clochers. Aujourd'hui. la particularité de Ketchaoua réside dans le fait que c'est la seule mosquée de la vieille ville qui possède deux minarets.
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche Icon_minitimeMer 30 Avr 2008 - 19:59

elbahdja ya el bahdja
chhal rah ydir el omo lol!
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MessageSujet: La Mosquée de Sidi Abd-Er-Rahmane   Alger la blanche Icon_minitimeJeu 1 Mai 2008 - 18:55

La Mosquée de Sidi Abd-Er-Rahmane,
La Mosquée de Sidi Abd-Er-Rahmane, sise sur les hauts d'Alger, fut édifiée en 1692 sur l'emplacement de la première sépulture du Saint, patron d'Alger, pour les Musulmans.
-----Sidi Abd-Er-Rahmane naquit en 1387, fit ses études en Orient et mourut à l'âge de 84 ans.
-----Ses ouvrages de Théologie sont étudiés dans les Zaouïas (Confréries religieuses ) par les "Tolbas".
Son nom figure en lettres d'or sous la coupole de la Médersa voisine de son tombeau.
-----Le Comité du vieil Alger a, par une plaque de marbre, honoré, rue de Charte, le lieu où fut sa maison.
-----Le prestige du Saint fut très grand et dépassa les bornes de la ville.Il fut un temps où les juges au Conseil des Prud'hommes venaient affirmer la sincérité de leurs déclarations, sur sa tombe, c'est dire s'il a été vénéré. --Près du Saint dorment plusieurs Deys.
-----Dans le cimetière entourant la Mosquée, se trouvent les sépultures du dernier Bey de Constantine, du vénéré Sidi Mansour et d'Ouali-Dadda. D'après la légende, c'est ce dernier qui créa la tempête qui sévit contre la flotte de Charles-Quint venu assiéger la ville d'Alger 1541.
-----D'innombrables visiteurs algériens et étrangers ont visité le tombeau. Parmi eux, citons : la Reine Amélie du Portugal, le Roi Oscar de Suède, le Roi Edouard VII et la Reine Alexandra, ...le Président de la République française A. Millerand en 1922.
( Source: " le diadème et les perles", Yvon Grena ,une fenêtre ouverte sur le Monde méditerranéen).
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MessageSujet: Donner la parole aux habitants de la casbah   Alger la blanche Icon_minitimeJeu 1 Mai 2008 - 20:30

Si l’on devait me demander de parler d’Alger, je parlerai de ses terrasses.
Si l’on devait me demander de parler de ses terrasses, je parlerais des mariages et des veillées funèbres qui s’y déroulent.
Une simple bâche verte quelques pics en bois et le chapiteau est dressé.
Quoi de plus simple mais quoi de plus étourdissant….
Odeurs….Musiques….Brouhahas …Pleurs ….Souvenirs
Les enfants d’alors s’en souviennent. C’était la fête, très vite les terrasses de la Casbah devenaient un magnifique lieu de réunion.
Nouvelles fraîches, amitié, confidences, réconfort.

Sohar.
La tête ici...l'esprit ailleurs...

Encore tout jeune, je la vois je me le rappelle,
De la terrasse où nous vivions comme un croissant de lune sur seuil,
La baie d’Alger miroir d’étoiles,
Corne aquatique lançant l’appel vers son amant.

Encore tout jeune, je la vois je me la rappelle,
Le mausolée de Sidi-Brahim à la darse de l’Amirauté,
Ouvrant les pans de son burnous pour bénir
Toutes les vierges de la cité.

Fragment d’un poème de Momo (Fils de la Casbah)


[img]Alger la blanche Ruedelacasbahub3[/img]
[img]Alger la blanche Casbahdalgerxd9[/img]
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MessageSujet: Le Hammam   Alger la blanche Icon_minitimeJeu 1 Mai 2008 - 21:51

Le Hammam
[img]Alger la blanche Mediumhammamrb6[/img]
"La vertu purificatrice et régénératrice du bain est bien connue, et attestée, au profane comme au sacré, par des usages apparentés chez tous les peuples, en tous lieux et tous temps. Le bain est universellement le premier des rites sanctionnant les grandes étapes de la vie, notamment la naissance, la puberté, la mort."

J.Chevalier et A Gheerbrant.

Hammam du mot hami chaud, edifice essentiel des villes arabes, dont il accompagne toujours les fondations, le hammam est situé au cœur du quartier résidentiel et dans le voisinage de la mosquée pour des raisons pratiques d'adduction d'eau et des impératifs d'ordre rituel (les ablutions).


Le hammam est aussi un lieu social. Dans chaque quartier, les hammams font partie des équipements collectifs, au même titre que la mosquée, la fontaine, la madérsa ou l'école coranique.

On retrouve dans le hammam l'organisation de l'espace des thermes de l'antiquité:

La salle de repos, puis 3 salles successives: la tempérée, la tiède et la chaude.

La lumière y pénètre, filtrée par des petites lucarnes percées dans les voûtes.

Héritiers des thermes de Rome et de l'Empire byzantin, les hammams D'Andalousie jouissaient d'une grande réputation à l'époque des Omeyyades.

Outre sa fonction purificatrice pour le croyant musulman, le hammam demeure le lieu féminin privilégié. C'est dans son espace humide, chaud et froid, que s'opère la rencontre du rire gourmand ou de la confidence murmurée. Les femmes se retrouvent là, s'échangent des secrets, y recherchent même des futurs belles filles


Une séance de hammam commence dans la pièce froide (bit-el-baraniya-el barda), se prolonge dans la pièce du milieu tiède (bit el wastaniya)sorte de halte protectrice, entre la salle froide et la salle chaude(bit askhouna), une manière de ne pas laisser le froid s'introduire dans le vestibule de la vapeur.

Lorsqu'un enfant va au Hammam pour la première fois, il est de coutume dans certaines villes comme Oran d'allumer une bougie, de parsemer le sol de cumin et d'accompagner le tout de youyous!
---------------------
"La rose metallise la peau , se fait bijoux et se saupoudre sur les textiles."A Mollard-Defour, le Rose.

[img]Alger la blanche Hammamsmallfs0[/img]
Tassa=petite coupe.

Bniqa: Linge de bain servant à couvrir les cheveux à la sortie du bain.

Bniqa du milieu et photo de la petite coupe: Musée des Arts africains et océaniens, Paris.
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche Icon_minitimeJeu 1 Mai 2008 - 22:54

Merci beaucoup les amis Wink

Quelles photos... Cool
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche Icon_minitimeVen 2 Mai 2008 - 4:31

en passent par la Casbah on noublie pas Sidi Abd rahmen Thealbi bien sur
cété la madressa a lépoque

*-*-*-*-*-* SIDI ABD RAHMEN*-*-*-*-*-*-*

La medersa El-Thaâlibiya,

Alger la blanche Casb0110

construction moderne de style mauresque,
d'abord école de jurisprudence coranique,
devient plus tard un etablissement secondaire
pour les jeunes Musulmans.

Cet établissement d'enseignement
supérieur compte parmi les
édifices publics de style mauresque
élevés en Algérie à la demande
du Gouverneur Général C.Jonnart.

Cette construction est l'œuvre de l'architecte Petit et a été inaugurée en 1904
par le ministre de l'Instruction publique
et des Beaux-arts.

La Medersa ,
“destinée à l'enseignement
supérieur des jeunes indigènes”,

Par l'ordonnance et la forme de leur décor,
le grand dôme et les salles présentent un cadre architectural des plus harmonieux.

Quatre coupoles flanquent le dôme central, un vestibule et un porche s'ouvrent entre les deux coupoles de la façade principale.

L'ensemble des murs est tapissé, à mi-hauteur, de carreaux de faïence lambrissée.

Elle fut complétée aprés
la Seconde Guerre mondiale,
sur le plan de l'enseignement
suppérieur, par la création
au centre d'Alger,
d'un Institut d'Etudes supérieures islamiques.
Une dévotion particulière était portée au Docteur Sidi-Abd-Er-Rahman.
C'était un savant lettré qui parcourut l'Orient avant de se fixer à Alger.
A sa mort, en 1470, il fut inhumé dans une kouba.
Le tombeau devint vite un lieu de pélerinage et s'enrichit jusqu'au jour où il fut décidé de contruire une zaouïa.
Plus tard, elle fut transformée en mosquée.
La mosquée abrite aussi d'autres personnages illustres comme plusieurs deys de Constantines :
• Mustapha Pacha
• Hasaen Pacha
• Rosa sa fille ainsi que
• le muphti El-Assimi inhumé le 10 septembre 1951.
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche Icon_minitimeVen 2 Mai 2008 - 4:44

est si on dit la casbah on dit bien sur la tradition algeroise et voila un de ces tradition :

Bouqalates, jeu de tradition algéroise

Quand le jour fait place à la nuit et que la lueur de la lune et des étoiles remplace celle du soleil, les femmes algéroises animaient leurs longues soirées par des retrouvailles organisées au cours desquelles elles savouraient la présence d’une dame âgée en l’écoutant raconter avec un art que seules les vieilles personnes possèdent les histoires des prophètes ou des contes des rois ou des «djenounes» (pluriel de djin).

Tout cela autour d’une «skimpla» (table basse) garnie de thé et de différentes gourmandises (fruit secs, «halaouet El-Tork», figues séchées, etc.)
Le mot «bouqala» désigne un vase d’argile en forme de coupe au pied large. Ce récipient constitue l’objet principal du jeu. En effet, on apporte une bouqala qu’on remplit d’eau et dans laquelle on jette un bijou en argent (bague ou bracelet) dans le but d’y attirer un djin. Après quoi, on la fait passer aux femmes désireuses de participer au jeu afin que chacune d’elle y dépose sa fève marquée de façon spécifique à elle pour l’identifier lors du tirage au sort. Les bouqalates sont des petits poèmes porteurs de bons ou de mauvais présages.
Enfin, on couvre la bouqala avec la « chéchia » d’une jeune fille dans laquelle on procède aux fumigations faites à base de benjoin, de henné, de quelques gouttes d’huile d’olive, des effilures de vêtement d’une femme sans mari et de petits bouts de bois prélevés de sept portes différentes, tout en prononçant à l’adresse du djin des incantations.
Avant chaque récitation de bouqala, chaque assistante noue son mouchoir ou son foulard ou même sa ceinture matérialisant ainsi sa pensée pour l’absent auquel elle dédie la bouqala et écoute attentivement la récitation de celle-ci. Sitôt finie, une jeune fille vierge retire au hasard une fève du récipient et désigne de cette façon la femme concernée par la bouqala et toutes les autres interprètent, tour à tour, le présage tel qu’elle l’entendent. Puis, on remet la fève dans le récipient et on répète l’opération plusieurs fois.
Le jeu fini, l’eau de la bouqala est jetée soit sur la terrasse soit dans la rue, au milieu de la nuit quand il n’y a plus de circulation.
Si une femme veut voir dans le rêve si un vœu à elle doit se réaliser, elle met une gorgée de cette eau dans la bouche qu’elle crache après la formulation intérieure de son vœu et elle devra voir des signes pendant son sommeil lui révélant si oui ou non il sera exaucé. Si par exemple, elle désire se marier, elle entendra des youyous dans son rêve.
Ce jeu de société existe encore de nos jours mais sous une forme beaucoup moins protocolaire. Il reste toujours apprécié pour son côté mystérieux et poétique.


Quelques magnifiques bouqalates illustrées

**Je suis belle et ma dote est chère et celui qui m’aime doit savoir compter des palais, et si le bien aimé accepte mes conditions, je lui donnerai filles et garçons.
na chabba ou mahri ghali, walli yabghi yaddini yahsseb andjoum ou yasshar elyali ou yabnili akssour lâalali wa illa b'gha el ghali andjiblou b'net wa adrari**

**Monsieur le taleb faites-moi plaisir, amenez moi le bel homme qui ne veux poser ses yeux sur moi, moi je suis jeune et belle mais ma chance m'a trahie.
Sidi taleb dir fiya amziya, djibli hadek echbab elli mayabghich yakhzor fiya, ana chebba ou zina psah zahri darha biya.**

**Oh! Brune, brune, tu es aussi délicieuse qu'une datte, tes yeux sont de couleur miel et ta langue une flamme!
Essamra! Ya samra, yelli hlouwa ki ettamra, 3ayounek chahla wel sanek djamra!**

**Voisine! Ma voisine, mon coeur est pour toi et mes yeux ne voient que toi, que ferai-je si ton père me refuse?
Djarti, ya djarti, kalbi 3lik ou 3ini fik, wech na3mel wech nwassi ida bouk makbel biya?**

**J'ai rêvé, et mon rêve est une vraie vision, un pigeon blanc s'est posé sur moi
Nemt ou lamnem ro2ya men 3and Rebi 7mama bida djet 7atet 3liya**

**Où es-tu mon bien-aimé? Aies pitié et reviens-moi, ton absence est une souffrance et ton désir est une flamme, la vie sans toi ne vaut rien.
Winek ya ghzali, winek ya ghzali 3oudli wa chefeq 3la hali, ghyabek 3bed ou chouqek nar wel 7ayet bla bik ma ta7lali**

**Il est passé par la porte de notre maison, il découpait un caftan de couleur cannelle, je lui ai dis : "Faites-moi une tenue sur mesure", il me répondit : "Je te ferai un caftan doré et je te rajouterai un autre cadeau".
Djayez 3la beb darna yfassel fel 3akri, koltlou : "Fassali 3la kaddi", kalli : "7atta tji 3andi, nfassalek kat mdahab, ou nzidlek melli 3andi".**

** J’étais comme une fleur fanée mais mon bien-aimé est revenu, oh! mon frère l’amour m’a brûlé le cœur et m’a guéri.
Kount ki el warda el madbala dja ahbibi ou ghiyer el hala ya khouya, el hob rahou akwani ou adweh rahou achfani.**

**Réveillez-vous! Vous qui dormez, les filles du roi arrivent! L’une d’entre elles est une beauté qui selon le bel homme, elle est celle qui a de beaux yeux et de jolis sourcils.
Noudou ya naymin! Abnet assaltan djayin fihoum wahda zinet azzin taâachek lahwadjeb wa el aâyn.**

** J’ai salué ma belle, en lui écrivant sur la feuille de l’orange, je lui ai dis :" tu es toujours dans mon cœur.
Sallemt aslami lazzina fi awrak atchina, koltalha :" mazalki fi el kalb dima".**


Dernière édition par Bijoul le Ven 2 Mai 2008 - 4:51, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche Icon_minitimeVen 2 Mai 2008 - 4:50

de rien midou khouya on est la pour sa Wink
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche Icon_minitimeSam 3 Mai 2008 - 2:40

Lexique Algérois

A
A'adjâr : Petite voilette en organdi, brodée et ajournée, qui orne le visage des algérois.
A'araîch : Gâteaux aux amendes.
A'arâs : Colonnes.
A'assel : Miel.
A'drâ: Se dit d'une jolie fille dans le jargon algérois.
A'ouayîd : Traditions : du mot arabe ( taqualîd).
Aid al-fitr , aîd as-sghir Sad la petite fête) qui marque la rupture du jeûne à la fin du ramadan, mois durant lequel fut révélé le coran.
Amana : Confiance
Anbar : Ambre.

B
Bab : porte :
Baboudj : D'origines persane, les babouches ont été introduite en Algérie dès le début XVII e siècle , notamment après l'entrée des Turcs à Alger. Elles étaient portées par le dey, les khodjas et les hommes de lois.
Badroun : Vêtement typique d'Alger, le sarwel et le haut sont cousus d'une seule pièce.
Balghâ : Appréciée pour son confort et légèreté , la chaussure, balgha, à Alger, est dépourvue de talon et réputée pour sa souplesse .Crée spécifiquement pour un climat chaud, la balgha demeure une des chaussures les plus utilisées en Algérie septentrionale.
Bâlît'â : Echarpe, châle de forme triangulaire.
Banq el qobâ : Lit en fer forgé ajouré et sculpté d'arabesque florales ; le mondes des oiseaux y est souvent présent .Surmonté d'un dôme, de petits miroirs, ce lit témoigne de l'exubérance du style baroque.
Bâqredj : Du turc, cafetière .
Baraka : Pouvoir immatériel et surnaturel, bénédiction divine, qui se transmet héréditairement ou par attouchement sur le front. Les saints transmettent cette bénédiction.
Bared : Clair , frais.
Batatâ-b-fliou : Plat de pommes de terre pimentées et parfumées au feuilles de fliou, sorte de menthe sauvage. Ce plat, avec celui de la sardine au cumin, est très apprécié à la Casbah d'Alger.
Bcharâ : Une nouvelle , un évènement.
Bdi'iya : Gilet.
Beyt, pl. biouts : Pièce, chambre.
Bhar : La mer, le large.
Bnîqa : Bonnet de bain.

C
Çâbâte : Chaussure fermée à l'extérieur.
Caf'tân ou Caftan : Long vêtement boutonné devant, orné de broderie ou passementerie.
Çahn : Cour intérieure des lieux de culte.
Caraco : Veste et sarouel de velours brodé, costume traditionnel de la mariée d'Alger.
Chaâbi : Plus qu'un chant populaire, le chaâbi, s'est affirmé comme mouvement symbolique de l'identité algérienne durant la période coloniale. Il constitue le chant de l'âme de la Casbah d'Alger, à l'instar du Flamenco en Andalousie . Le chaâbi tire son orignine de l'arabo-andalou, c'est un genre populaire algérois.
Châms : Soleil.
Chbîka : Dentelle d'aiguille, réalisée sur coussin. Les petites mailles sont appelées " ghorzâ " .
Chéchiate-Stamboul ( d'Istambul) : Coiffure masculine des Algérois , de couleur rouge, orné d'un pan de fil fin de couleur noire.
Chentouf : Luis d'or montés en collier.
Cherbet : Sirop à base d'eau de fleur d'oranger., de cannelle et de sucre.
Chîchma : Terme turc qui désigne les sanitaires.

D
Dhâl ou Dh'lilâ : Ombre.
Dar : Maison , demeure.
Darbouz : Accoudoir.
Dardjâ : Marche.
Dawq : Le gout.
Denyâ : La vie ( le monde d'ici-bas) dans la conception islamique, la vie ici-bas est une phase temporaire de la vie éternelle de l'au-delà .
Derbouka : Instrument de percussion.
Dhâb wa L'fadhâ : L'or et l'argent.
Dhîf : Invité, hôte.
Dîkr : Prière , méditation, imploration, invocation, oraison, remémoration.
Djâoui : Benjoin.
Djénina ou djnîna : Petit jardin.
Djma'a : Réunion, du terme djema'a , conseil, qui symbolise le pouvoir local.
Djohâr : De l'arabe djawhar, désigne les perles baroques très appréciées des Algériennes.
Dhour ou dohr : Prière de la mi-journée.
Dou'aa : prière.
Douira : Petite demeure dans la casbah, ce terme est issu du mot dar, habitation.
Drîba : Ruelle.
D'rôdj : Escalier.
Dzayer : Alger.
Dzîri : Algérois.

E
El aatba : Le seuil de la porte de la demeure.
El'Andalous : Terme arabe désignant la péninsule ibérique, conquise dès 711. Le terme subsista sous la forme Andalouse pour désigner la province méridionale de l'Espagne.
El béniân : Construction.
El bouraq : Cheval fantastique ayant servi au prophète Mohamed lors de son Ascension ( El Mihradj ) vers le trône de Dieu.
El Cor'ân : Livre saint de l'islam.
El'djbel : La colline, la ville haute de la Casbah.
El fann : L'art.
El fakyâ : Les fruits.
El farh : La Joie.
El fetlâ : Fil d'or utilisé pour l'ornementation des broderies, des costumes de fêtes et de mairiée.
El ghassoul : argile utilisé en soin de beauté , dans les hammams.
El h'bâq : Le basilic.
El Hormâ : Honneur, dignité.
El gargaf : Métier à broder dérivé du turc ( gurgaf).
El' haq : De haqiqâ , vérité.
El'kaabâ : Construction cubique située au centre de la mosquée à la Mecque vers la quelle se tournent tous les musulmans pour prier. Selon la tradition musulmane la kaabâ aurait été construite par Abraham.
El kantîr : cannetilles, de l'espagnol canûtillon , fil d'or enroulé en spirale que l'on retrouve ornant les costumes andalous (castillans) et algérois.
El khât : Art de la belle écriture, la calligraphie est l'art le plus prisé en islam. Celle-ci s'est développée aussi bien dans les manuscrits que dans l'ornementation.
El khîr : Le bien.
El'khouarâ : Autrefois, le lendemain de la nuit de noce alors que la meddah'â entonnait la taalîla, le chant de la précieuse, sa belle-mère menait la jeune mariée de sa chambre jusqu'au wet eddar , pour la coupe de la tresse enrubannée qui ornait chaque tempe de son visage , sâlef. Ce jour là était très émouvant pour la jeune mariée, tant par son entrée dans une nouvelle vie que par sa charge symbolique. La mariée était ensuite exposé au centre du patio, installée sur des coussins brodés de fils d'or et de soie, de façon à dominer l'assistance.
E'lil : L anuit.
El'kemch : Tissu , étoffe .
El houma : quartier.
El-laoun : La couleur.
E-louz : Amande, lawz en arabe, symbole de douceur et de féminité. Pour certain poète , elle est la vérité, haqiqâ..
El m'â : L'eau.
El maqnîn : l'oiseau, le chardonneret.
El medjboud : broderie de fil d'or sur carton.
El mordjân : Le corail.
El m'sâmaa : Orchestre féminin. Autrefois dans la Casbah, ces orchestres étaient menés par Mériem Fekkay et fadéla Dzirîa, les célèbres maîtresses du chant d'Alger. Aujourd'hui ç Alger ces ensembles féminins ont élargi le répértoire du chant avec de nouvelles M'esammaâtes.
E'nafs : L'âme, le moi profond.
El'oud : Le luth arabe.
E rrihâ : Odeurs, parfums, senteurs.
E rommân : La grenade( fruit).
E'rrouh : L'âme spirituelle.
E'sadane : Invitation orale lors d'une fête, disparue de nos jours et remplacée par des cartes de circonstance.
E'sapa : Corbeille pour transporter les objets du hammam, le jour du bain.
E'sunna : Tradition islamique telle qu'elle est léguée par le prophète Mohamed.
E'tadj : Couronne, diadème.
El yaqout : Le rubis.
Es'Sabaa : Du chiffre sept , ce mot désigne le septième jour de la fête.
Et'tasdira : Exhibition solennelle de la mariée dite m'saddra, avec les différentes toilettes de sa garde robe traditionnelle.
Faddî : Argent.

F
Faddî : Argent.
Fakhâr : Potier, poterie.
Fâl : présage.
Fannân : Artiste.
Farfourî : Se dit d'une belle porcelaine.
F'dâouech : Petite pâte pour la soupe d'Alger, appelée chorba .
Fendjâl : Terme Turc qui désigne une petite tasse à café.
F'tour : Repas du midi.

G
Ghon'yâ : Chanson. De l'arabe ghinâ. ( chant).

H
Hab el mlouk : La cerise
Hadith : Recueil de traditions concernant la vie du prophète mohamed.
Hadj : Terme honorifique désignant une personne qui a fait le pèlerinage à la Mecque.
Hadjrâ E-saffrâ : Pierre de couleur jaune utilisée lors de l'épilation au hammam.
H'çira : Natte tressée en rafia pour le, sol.
Hadouk-E'nas : Génie, démon, esprit.
Hadrâ : Cérémonie collective dans une demeure ou une zawîya, durant laquelle ont lieu des offrandes, des danses des sacrifices.
Haîk : Long voile fin non cousu drapé autour du corps.
H'law : Sucré.
Halwâ : Gateau, friandise, sucerie.
Hamêq : Foncé.
Hammam : Bain à étuve héritier des thermes romains et byzantins.


Hanafîtes : Disciples de l'école juridique fondée par le théologien Abou Hanifa d'origine iranienne, né en Irak en 966, mort à Bagdad aux environs de 797. Il admettait en plus du Coran et des traditions, source première du droit, l'opinion rationnelle et personnelle, ray , en langue arabe. La jurisprudence des hanafites ottomans s'appliquait à El Djazaîr dans les, édifices religieux lors de l'occupation turc.
Har : Epicé.
Harqous :Ornement des sourcils de la mariée en croissant de lune, sertis d'étoiles de cannetilles d'or.
Harrar : Fabricant de soie et tisserand.
Hazzabîn : Lecteurs qui psalmodient et récitent les versets du coran.
Hégire : L'ère musulmane qui débuta le 16 juillet 622 après J-C.
H'lel : Croissant de la lune.
Hrîr : Soie.

K
Kh'zanâ : Armoire.
kab-kab : Chaussure plus fonctionnelle qu'esthétique. Il s'agit de socques plats en bois d'olivier, d'oranger ou de jujubier, avec une lanière en cuir simple ou ornée de motifs décoratif, crées pour être utilisées dans les caldarium ou pour traverser les pièces humides des hammams. Aujourd'hui, le kab-kab est remplacé par des sandales en plastiques
Kamantchâ : Violon orné de motifs.
Khbîzat-El ambâr : Tissu au motif en forme de pois.
Khâtem ou Brîm : Bague.
Keît-E rouh : Diadème d'or de pierres précieuse qui orne le front des Algéroises.
Khîama : Cuisine.
Lkhîal : De l'arabe khayâl, takhayyoul, désigne aussi bien l'illusion que l'imagination.
Khobz-E Dâr : Pain fait maison.
Knîdlâte : Gâteau en forme de petite corbeille d'amande.
K'ssioua :Petite robe.
Kwiyât : Veste et sarouel de tissu en dentelle ou imprimé.

L
Loqmâ : Cette expression dans le parler Casbadjîte signifie, la nourriture rapportée par le travail, il désigner aussi une petite portion, une part.
L'outâ : La ville Basse de la casbah.

M
M'ad'bâ : se dit d'une personne polie, distinguée. On dit adab et tarbîya pour désigner les bonnes manières.
Méfteh : Clé.
M'chaouchâ : Gâteau de célébration d'une naissance, préparé à base de semoule et d'œufs frits. Il peut être enduit de miel.
M'ghorfâ : Cuillère.
M'hadouel : Se dit d'un tissu léger et aérien.
M'helbî : Gâteau de riz parfumé à la cannelle et à l'eau de fleur d'oranger.
M'naguech : Boucles d'oreilles.
M'namâ : Rêve.
M'qâss :Paire de ciseaux. Dans la superstition algéroise, outre sa fonction, le m'qass protège l'homme des attaques des génies (djnouns). La nuit , au moment du coucher, il n'est pas rare de déposer une paire de ciseaux , ou une clé sous l'oreiller de l'enfant pour lui éviter de faire le mauvais rêves. Cette faculté d'endiguer le pouvoir maléfique des djînns est ancienne, elle pourrait être méditerranéenne.
M'qatfâ : Petite pâte roulé à la main pour la soupe.
M'rayâ : Miroir.
M'sayes : Bracelet, jonc en or ou en argent.
M'a ward : Eau de rose.
M'a zhar : Eau de fleur d'oranger.
M'a zemzem : Eau sacrée du puit situé face à la kaabâ .
Maoussem : Les fêtes musulmanes sont déterminées d'après le calendrier hégirien, fondé sur le cycle de la lune. L'ère musulmane débute en l'an 622.
Matrâh : Petit matelas.
Médersa : Ecole traditionnelle coranique.
Medh : Chant religieux, louant le prophète Mohamed, les lieux saints et glorifiant les bienfaits des personnages pieux.
M'hermet El ftoul : Foulard d'Alger, dont la bordure des extrémités est ornée de longs fils soyeux, qui retombent sur les épaules.
Mesk -Elîl : Chèvrefeuille.
Meyda : Petite table basse.
Mlef : Etoffe chaude de lainage pour la saison d'hiver.
M'râch : Encensoir en cuivre , verseur d'eau parfumée.
Mufti : Dignitaire religieux, magistrat.

N
N'qa : Proprteté.
Nafekh :Brassero.
Nadjâr : Artisan menuisier, ébéniste.
N'djûm : Fines paillettes dorées ou argentées.

O
O'oqach : perles.
Oud : Luth.

Q
Qaçîda: Poésie arabe ancienne, avec différentes compositions. La qaçida est à la base du sawt du chaabi d'Alger. Au Maghreb la qaçida dite qçîda relève des formes populaires et n'est pas incluse dans la nouba.
Qâch-S'dîf : Meubles incrustés de nacre.
Qâdifa : Velours.
Qahwa : Café.
Qânoun : Cithare sur table montée d'une centaine de cordes disposées trois par trois dont vibrations sont obtenues par des onglets métalliques fixés aux doigts.
Qârn : Pl. qouroun : désigne un sicle.
Qbû : niche profonde des ghorfâtes ( pièces) des demeures de la Casbah, située face à l'entrée qui donne sur la galerie, au dessus du patio.
Qeffâl : Long tissu, enroulé autour du couscoussier, keskâss, rempli de t'aam, couscous, pendant la cuisson afin de ne pas laisser échapper la vapeur.
Qmâr : Lune
Q'medjâ : Chemise de mariée.
Qorfa : Cannelle .
Qsâr : Palais.
Q'ton : Coton.

R
R'khâm : Marbre.
Raîs : Chef.
Rassoul : De l'arabe Moubachir, le messager.
R'tâb : Lisse.
Roqnâ : Angles, coins d'une piéce.

S
Sâlef ou swalef : Nattes de la mariée, tressées avec des rubans roses et que l'on coupe le jour de la khouâra.
San'aâ : Métier.
Sendouq : Coffre.
Senslâ : Collier.
Seyyaghînes : Bijoutiers.
S'ma : Ciel
Sebhâ : Chapelet.
Snîtra : Guitare. Ce terme désignait autrefois, dans le milieu andalou, une mandoline.
Sokriâ : Sucrier.
Sot ou Sawt : Son, sonorité , voix.
S'rayâ : Splendeur.
Stâh : Terrasse.
S'yaghâ : Bijoux.
Swâk : Ecorce utilisée pour embellir les dents et colorer la gencive d'un rouge carmin.
T'aam : Nourriture, kesksou. Le couscous est le plat du partage des jours de la sunna, le lundi, jour de naissance du prophète Mohamed , et le vendredi, jour de priére.

T
Taalîba : Nom de la tribu berbère qui occupait la mitidja.
T'asdirâ : Jour oû la mariée se montre aux invités pour exhiber tous ses costumes avant de quitter sa demeure familiale. Son départ se fait sous les youyous féminins, elle passe par la sqifa, enveloppée das son haîk, appelée m'ramâ à Alger, et généralement fabriqué à Tunis. Elle franchît la porte de sorte, en passant sous la pan de burnous que son père, son oncle ou son frère, étendent en signe de bénédiction.
Tabani : Longue pièce d'étoffe brodée de couleur jaune d'or, s'enroulant autour de la chéchia.
Tabqâ : Etage.
Tâmmina :Ce gateau de semoule grillé au miel, saupoudré de cannelle, est préparé à l'occasion d'une naissance, ainsi que pour fêter la naissance du prophète.
Târ : Tambourin sur cadre de forme circulaire avec Cymbalettes , instruments de base de la musique arabo andalouse.
Târiqâ : Voie , culte.
Târz : Arts textiles.
Tâssa : coupelle qui sert à prendre l'eau de la vasque au hammam.
T'baq : Ce mot désigne tous les cadeaux offerts lors des fiançailles.
Tchabtchaq, Pl. tchbatcheq : terme turc qui désigne une coupe, un récipient.
Tchâlik : Petit morceau de tissu.
Tebssî : Assiette.
Taalilâ et Teqdem : Chant solennel nuptial qui exalte la beauté et les qualité de la jeune mariée.
Touiyes : Petit bol.
Twîqa : Petite fenêtre.

W
warda : La rose.

Y
Youm : le jour de..( youm el djemaa) : désigne jour de rassemblement.

Z
Zawîya : Cercle maraboutique spécifique de l'islam maghrébin.
Zâouech : Oiseau.
Zenqa : Rue.
Ziride :Dynastie berbère dont une branche régna dans l'est de l'Afrique du nord de 972 à 1167 et une autre en Espagne( grenade) de 1025 à 1090.El Djazaîr connu une période de prospérité sous son règne. A la fin de XIe siècle, Yûsuf Tachfin, fît élever la grande mosquée d'Alger, de rîte malekite.
Zlâbiya : Gâteau frit et enrobé de miel, dégusté lors du mois de jeûne. Le Ramadan.
Zernadjîya : Troupe de musiciens de la, musique dite zorna. Cette musique militaire, d'origine turque, fut jouée en plein air du XVIe siècle à nos jours, elle s'est enrichie pour se perpetuer dans la tradition Algéroise.
Zrîba : Impasse.
Z'ribîya : Petit tapis

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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche Icon_minitimeSam 3 Mai 2008 - 3:03

et se qu'on voi plus ce el haîke qu'on peut dire disparé et malheureusement que vs avez déja parlé dans le topic de benate el youme que meme les vielle femme ( la3edjayeze Very Happy ) se modernise (rarement) elle ne le portent plus el hayek
voila une petite présentation del hayek

El Haïk

Alger la blanche Miss-a10

Alger la blanche Hki1a_10
Dans une ruelle d'Algérie, on croise souvent des silhouettes blanches se faufilant, de manière gracieuse, au milieu de la foule, nous rappelant ainsi notre identité et notre histoire, c'est le haïk...

Cette étoffe, symbole de pudeur et de noblesse, tenait et tient toujours une grande place dans notre société. Ce vêtement se porte de différentes façons selon les régions et se caractérise par une grande sobriété, à la différence des vêtements portés pour les fêtes à l'intérieur d'une grande richesse (karakou, blouza, fergani ou encore la chedda).

Appelé Haïk, Hayek, ce voile blanc avait un aspect pratique non négligeable. A l'époque, il préservait la blancheur de la peau de la femme qui pouvait également cacher ses bijoux et éloigner ainsi le mauvais ½il. Il permettait aussi à la bourgeoise de se démarquer car, en le portant, elle affichait son rang social élevé.

Différents types de haïk existent en Algérie : El haïk El-Kssa, filé de laine fine, el haïk El-Meremma (la fouta blanche) qui est un voile plus léger que le précédent et plus précieux, car tissé de soie pure et rayé de fils d'or et d'argent, et enfin, il y avait le «houiek», fait de soie, de ftoule et de guergueffe et que la jeune mariée portait la veille de ses noces, ne se dévoilant que le jour de son mariage!

Par rapport aux couleurs, on remarque qu'il est d'un blanc immaculé à Alger, Tlemcen, Oran, alors qu'à Constantine, il est noir. Et cela en signe de deuil, à un bey décédé. En effet, les constantinoises portent la "mlaya" en guise de haïk.

Mais bien au delà de sa matière ou de sa couleur, la femme se distingue dans l'art et la manière de le porter. En effet, tantôt, la femme qui le porte envoie un symbole de pudeur (soutra), tantôt il forme un objet de séduction.

Ce qui est certain c'est qu'il sublime la beauté de la femme. En effet, plus on cache, plus on laisse place au fantasme et à l'imagination...
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche Icon_minitimeSam 3 Mai 2008 - 3:25

ah lehakena lle ssah Laughing le mariage Algerois

Récit d'un mariage typiquement algérois


Les mariages algérois se caractérisent par leur raffinement et l'élégance des femmes portant le karakou. Une multitude de costumes brodés se rencontrent.

Les sons de la musique algéroise résonnent et honorent la distribution des petits gâteaux et petits fours spécifiques d'Alger. La fête commence en fait en début de semaine ou dure deux jours d'affilés, les femmes de la famille s'attellent à préparer des gâteaux orientaux.

Le premier jour
La mariée se rend au bain avec les membres de sa famille. Les dames les plus âgées veillent à ce que la mariée suive les traditions anciennes. On allume les bougies, la limonade et les gâteaux sont servis et des voix anonymes entonnent des chants religieux, suscitant des youyous nourris.

Deuxième jour
Place à « El khouara », un après-midi convivial dans une salle des fêtes où la mère de la mariée invite ses proches et ses amies à découvrir les tenues de sa fille. Pendant que l'orchestre andalous bat son plein, la mariée défile dans plusieurs effets vestimentaires. De la robe de fiançailles au karakou, du kaftan au bedroune, du karakou à la robe blanche, la mariée se prêtera au jeu du mannequinat et de la séduction avec un réel plaisir. Des boissons fraîches, des salés, des gâteaux à base d'amandes, du thé et des dragées sont distribués à tour de bras à l'intention des convives. Des convives parfois exigeantes. Les flashs des appareils photo et le zoom des caméras vont bon train.

Troisième jour
Place à trois rendez-vous incontournables : « El taâliq », le repas du soir et « El Henna ». En effet, après que les grandes tantes eurent repassé et placé le trousseau de la future épouse dans les valises, ce dernier est acheminé chez elle. C'est sous des youyous stridents que ses affaires sortent du domicile paternel. Les tantes, les soeurs aînées et les belles-soeurs de la mariée partent en délégation arranger le trousseau de la mariée dans sa future maison. Les beaux-parents les accueillent avec de la limonade, du café et des gâteaux. Un peu plus tard, dans la soirée, un succulent repas « sfari » est concocté à l'intention des invités et des beaux-parents de la mariée. Ce repas, placé sous les auspices du père, comporte des mets, tels qu'une chorba, des boureks, de la « chetitha elhem », des salades, du « ham lahlou » et une corbeille de fruits. Après que les ventres se soient rassasiés, le rituel du henné est à l'honneur. Recouvrant la totalité de son visage avec un foulard en « fetoul » (avec des franches), la belle-mère entonnant des « tekdims » (des chants rituels) demande à sa future bru d'enlever la chaussure de son pied droit pour casser les oeufs, signe de la fécondité. Les deux paumes de la main sont badigeonnées de henné. Avant d'enfiler les gants, la belle-mère prend le soin de mettre deux louis d'or au creux de la main de sa belle-fille.

Quatrième jour
Le jour se lève avec un autre grand rendez-vous, celui du départ définitif de la mariée chez elle. Pendant que la mariée se rend chez la coiffeuse, la famille prépare les dernières retouches. Vers 14h, des klaxons et « El Zorna » se font entendre dans le quartier. Les riverains accaparent les balcons, pas question de rater un tel spectacle nuptial. Pendant que l'orchestre traditionnel se concentre sur ses instruments musicaux, six femmes vont chercher la mariée. Après d'interminables embrassades et larmes, le père sort sa fille sous sa coupe. Elle est escortée dans la voiture, garnie de fleurs, par des femmes mariées de sa famille proche. Le cortège est de la partie. Direction : une salle des fêtes de la capitale. A l'entrée de la salle, la belle-mère accueille sa belle-fille avec un verre de lait, des dattes et parfois une clé. Un rituel annonciateur de bonne entente, de procréation et de longévité dans le couple. Durant tout l'après-midi, la mariée portera encore une fois ses tenues. Au moment de la robe blanche, le marié rentre pour l'échange des alliances. Une voiture les attendra dehors pour une destination généralement inconnue.

Cinquième jour
Fin de la cérémonie par un alléchant déjeuner offert à l'intention des parents de la mariée. Après le retour des hommes de la prière du « dhor », les tables sont dressées avec faste et les appétits s'aiguisent. En milieu d'après-midi, du café chaud et des gâteaux dégoulinants de miel sont servis. Après d'interminables discussions, les invités se retirent, laissant derrière eux la mariée dans les bras de sa nouvelle famille. Là, encore, au moment de la séparation douloureuse, des larmes sont essuyées furtivement. La mariée, pour sa part, est inconsolable. Pendant sept jours, la mariée portera ses tenues traditionnelles. Elle sera exemptée de faire le ménage durant toute cette période. Après ce délai, elle pourra voler de ses propres ailes grâce à son nouveau statut de femme mariée.
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche Icon_minitimeSam 3 Mai 2008 - 4:23

mes le mariage ne dure pas 5 jour bien sur Laughing kima yekoulou nasse bekri
"el 3aresse lila ou debaretou 3ame " Laughing
" le mariage dure une nuit mais un ans de préparation "
Cool
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche Icon_minitimeLun 5 Mai 2008 - 3:10

waw, quel sujet , très beau, merci bien jeune.
ce qui m'a fait pausé un p'tit moment c'est le Haik, super ce style, j'adore quand je vois ma mère en le portant en certaines occasions ... très original.
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche Icon_minitimeLun 5 Mai 2008 - 3:28

DIJA a écrit:
waw, quel sujet , très beau, merci bien jeune.
ce qui m'a fait pausé un p'tit moment c'est le Haik, super ce style, j'adore quand je vois ma mère en le portant en certaines occasions ... très original.
c rare ou on trouve le haike mtn Crying or Very sad
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche Icon_minitimeLun 5 Mai 2008 - 3:42

Oui vous avez raison, il est presque disparu ... c'est bien dommage; malgré que le Haik fait bien une majeure partie de notre culture, c'est frustrant comment les algériens puissent se passer de leur "héritage" aussi banalement !! Crying or Very sad
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche Icon_minitimeLun 5 Mai 2008 - 4:03

sur le fron de mere on trouve un des merveilleux palais a Alger

Palais du Raïs
une présentation sur le beau Palais

Centre des Arts et de la Culture
du Palais des Raïs (Bastion 23)


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Le Palais des Raïs (Bastion 23) compte parmi les plus importants monuments historiques de la ville d’Alger et représente l’un des derniers témoins qui attestent physiquement du prolongement de la Médina d’El Djazaïr (Casbah) jusqu’à la mer à l’époque ottomane (16e/19e siècle).

Le Palais des Raïs (Bastion 23), partie intégrante de la Médina d’El Djazaïr (Casbah), est détaché, voire même, isolé de son environnement traditionnel suite aux différents bouleversements et restructurations qu’a subis la Casbah à l’époque française. Ce n’est qu’en 1909 que le Bastion 23 est classé Monument Historique sous l'appellation "Groupe de maisons mauresques" pour l’intérêt architectural qu’il représentait d’une part, et comme dernier quartier (houma) de la basse Casbah d’autre part. Un classement qui sera reconduit par les pouvoirs publics le 20 décembre 1967 par l’ordonnance n° 67-281. En 1991, c’est au tour de la médina d’El Djazaïr (Casbah) d’être érigée comme patrimoine national et puis, classée patrimoine universel par l’UNESCO en décembre 1992. Ce double classement dénote de la reconnaissance et de l’importance octroyée par les instances nationales et internationales à ce joyau architectural et urbain délimité par un périmètre de protection et de sauvegarde qui intègre en son sein le Palais des Raïs (Bastion 23).

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Le Palais des Raïs (Bastion 23), de par sa situation urbaine des plus favorables -unique dans un carrefour de plusieurs directions- et sa stature imposante à proximité des conditions de transport et parking, qui lui confèrent une position de choix dans ses liaisons avec la ville, est devenu un passage incontournable pour beaucoup de monde ; l’afflux de visiteurs, de délégations, de groupes d’élèves et d’étudiants, est permanent.

Le Palais des Raïs (Bastion 23) présente des lors, un cadre riche et varié, où se côtoient l’urbain et l’architectural, l’ombre et la lumière, les espaces publics et privés…. Il est constitué de trois palais (palais 17, 18, 23), de six douerates ″maisons des pêcheurs″ (maison 5, 7, 9, 11, 13, 15). Cette dernière (maison 15) par son Mihrab, faisait fonction de salle de prière (Moussalah).


Les bâtiments A et B abritent actuellement la bibliothèque et les salles d’archives quant aux bâtisses 8,10,12 abritent à leur tour, l’administration du Centre des Arts et de la Culture du Palais des Raïs. L’ensemble composant une architecture savamment conçue, s’organise autour de sabbats, rues, palais, douerates, terrasses, parcours…, et qui occupe une surface utile de 3469 m2 et une surface d’exploitation de plancher totale de 7824 m2.

Après cinq années de travaux de restauration, le Palais des Raïs reste la première expérience de récupération d'un ensemble historique restitué au public, menée à son terme en Algérie depuis l’indépendance. Le choix d’installer le Centre des Arts et de la Culture du Palais des Raïs au sein même du Bastion 23, n’est pas fortuit. Il démontre l’intérêt accordé par les pouvoirs publics au patrimoine culturel et de la volonté de mettre en avant, l’importance des valeurs architecturales, historiques et culturelles de l’ensemble monumental du Bastion 23. A ce titre, le Palais des Raïs qui revêt un caractère exceptionnel, est appelé à s’ériger en modèle de gestion pour tous les monuments algériens souffrant de la problématique de leur usage futur. Une vision qui s’inscrit en droite ligne dans la politique initiée par le Ministère de Culture et qui allie besoin d’exploitation et développement économique avec exigences de conservation du patrimoine.

Le Palais des Raïs offre aujourd’hui, aux visiteurs, la possibilité de se promener dans un environnement historique et culturel. Des haltes alternent et rythment les activités muséales dans les palais et les activités scientifiques dans la salle de conférence, la bibliothèque et les salles d’archives. Un parcours ludique est organisé autour de lieux de rencontres tels que les maisons des pêcheurs appelées à abriter des activités économiques (boutiques d’art et d’artisanat, agences de voyages, librairie…), le souk où se rencontreront des antiquaires, collectionneurs et bouquinistes de livres anciens…Des activités de loisirs, spectacles pour enfants, concerts, soirées poétiques… sont par ailleurs, organisées au niveau de la terrasse (batterie) donnant sur la baie d’Alger.

Le Palais des Raïs, Créé par décret exécutif n° 93-282 du 9 Joumada Ethania 1414 correspondant au 23 novembre 1993, sous la dénomination de "Centre des Arts et de la Culture du Palais des Raïs", est un établissement public à caractère administratif, doté de la personnalité morale et de l’autonomie financière. Il est placé sous la tutelle du Ministère de la Culture.

Inauguré le 1er novembre 1994 en tant qu’ensemble culturel polyvalent le Centre des Arts et de la Culture du Palais des Raïs a pour missions d’assurer la gestion, l’organisation, le fonctionnement et l’animation.

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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche Icon_minitimeLun 5 Mai 2008 - 4:06

DIJA a écrit:
Oui vous avez raison, il est presque disparu ... c'est bien dommage; malgré que le Haik fait bien une majeure partie de notre culture, c'est frustrant comment les algériens puissent se passer de leur "héritage" aussi banalement !! Crying or Very sad
on vois plus nos tradition est c malheureux sa me fait mal au coeur
ma mere malgrés son jeune age elle port Serwal Cherga esque ya une femme de 30 par example qu'elle va le porté c impossible
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche Icon_minitimeLun 5 Mai 2008 - 4:28

Les six portes :


Bab-El-Djedid
Bab Sidi-Ramdane
Bab-Azoun
Bab-El-Oued
Bab-El-Behar
Bab-El-Djazira (appelée aussi Bab-El-Jihad)
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche Icon_minitimeLun 5 Mai 2008 - 4:42

Les palais :
Il s’agit d’embellir trois palais de la basse Casbah avec des plantes et des fleurs. Et faire découvrir ces joyeux de l’architecture au public

Palais Khdaoudj el amia
(musée national des arts et traditions populaires)
Ce palais abritera une exposition photo sur le thème : jardin de musées.
Son petit patio sera embelli de plantes et fleurs le transformant en un jardin intérieur algérois et pour l’événement le musée propose la démonstration au public de la distillation de l’eau de rose comme il se faisait dans l’ancien temps avec les accessoires qui l’accompagne.
Utilisation des espaces avoisinant du musée pour l’expo-vente de plantes et de fleurs.

Dar essouf
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un palais qui à été rénové récemment et qui n’est pas très connu du public, ce palais fera l’objet d’une décoration florale parsemée d’action culturelle : peinture, musique, danse, chant, artisanat et dégustation de met traditionnel.


Dar Mustapha Pacha

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très beau palais, ancienne bibliothèque nationale : il sera embelli lui aussi de fleurs et plantes et abritera deux expositions de miniature, de peinture et un espace lecture sera réservé pour l’occasion.

Dar Aziza
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C’est le siège de l’agence Nationale d’archéologie. Ce palais sera ouvert aux public et dans le patio seront exposer plans et travaux de rénovation de la Casbah, et montré au public l’action entreprise par les autorité pour la sauvegarde de notre patrimoine.
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MessageSujet: Re: Alger la blanche   Alger la blanche Icon_minitimeLun 5 Mai 2008 - 4:46

Musée National du Bardo

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HISTORIQUE ET PRESENTATION DU MUSEE

Située dans la banlieue algéroise de Mustapha Bacha, le monument du Bardo aurait été bâti, à la fin du 18e siècle, par un riche tunisien exilé « Hadj Ben Omar » afin de servir de résidence d’été pour l’accueil des notables de l’époque.
En 1879, une extension a été construite par le dernier propriétaire, un Français nommé M. Joret. Celle-ci devait servir d’écuries et de remises.


En 1930, lorsque l’édifice fut inauguré comme Musée de Préhistoire et d’Ethnographie à l’occasion du centenaire du colonialisme en Algérie, le monument du Bardo fut destiné à l’exposition des collections ethnographiques, tandis que l’extension fut consacrée à la Préhistoire.
Depuis, le Musée du Bardo, nommé ainsi dès sa création et devenu Musée National du Bardo en 1985. Le musée abrite des collections non seulement algériennes mais également étrangères. Généralement, les objets préhistoriques proviennent des fouilles ou sont acquis dans le cadre d’échange avec les institutions des pays étrangers. Quant aux pièces ethnographiques, celles-ci sont acquises soit par achat ou par des dons.


La cours de marbre à l'intérieur du Musée du Bardo

La similitude de certains motifs et de certaines formes et techniques témoigne de la pérennité de la culture algérienne de la Préhistoire à l’époque actuelle. Ce lien justifie la coexistence des deux disciplines préhistorique et ethnographique dans le Musée National du Bardo, classé comme « Monument Historique » en septembre 1985.


La Préhistoire

Dans la partie préhistoire, quatre thèmes sont représentés :

Les cultures humaines et leurs traces matérielles (matériel lithique, osseux et métallique, produits artistiques, poteries, etc.) ;
L’anthropologie physique (restes humains) ;
La paléontologie (ossements animaux) ;
L’archéobotanique (quelques restes végétaux).


La cours de marbre à l'intérieur du Musée du Bardo
De façon générale, l’exposition est présentée dans l’ordre chronologique permettant ainsi au visiteur de connaître et de bien suivre l’évolution humaine et ses cultures à travers les différentes périodes préhistoriques : Paléolithique inférieur, moyen et supérieur, Néolithique, et enfin la Protohistoire ou Âge des métaux qui est une période intermédiaire entre la Préhistoire et l’Antiquité.
Ces périodes sont représentées dans deux grandes salles précédées par une salle d’introduction à la Préhistoire dans le monde et notamment en Algérie.
Une quatrième salle est consacrée à l’art préhistorique d’Algérie représenté par l’art rupestre algérien, qui est de réputation internationale, et l’art mobilier figuratif du Sahara méridional, celui-ci est très typique n’ayant pas d’équivalent ailleurs.
Enfin, bien que d’époque récente (4e ou 5e siècle Apr.-J.), l’illustre et la mythique Tin Hinan qui est l’ancêtre maternelle et la reine des Touareg de l’Ahaggar, ainsi que son mobilier, sont exposés de façon permanente dans une salle à part « Salle de Tin Hinan », inaugurée le 18 avril 2005 à l’occasion du mois du patrimoine.
Selon une légende locale, l’arrivée de Tin Hinan dans la région d’Abalessa située à 80 km à l’ouest de Tamanrasset (capitale de l’Ahaggar), serait à l’origine de la fondation de la société Targui de l’Ahaggar. Le squelette découvert dans le monument d’Abalessa en 1926 lui a été attribué.
Le mobilier très varié qui accompagnait la sépulture (bijoux, fragments de poteries, de cuire et de bois, statuette féminine, etc.) est exposé dans des vitrines. Pour la sépulture même, la tombe de la chambre funéraire a été reconstituée et placée au centre de la salle, de même qu’une maquette du monument d’Abalessa a été réalisée et mise dans un coin de la salle.
Pour finir, dans cette salle sont affichés une carte de localisation du site d’Abalessa ainsi que plusieurs textes illustrant la tradition orale de Tin Hinan, les recherches archéologiques dans les chambres du monument et l’architecture de celui-ci, l’étude anthropologique du squelette, l’étymologie du nom de Tin Hinan et les anciens écrits sur cette femme qui a polarisé le souvenir de toute une population depuis des siècles.

L’ethnographie

Deux types d’expositions sont présentés dans la partie Ethnographie :

Expositions d’objets ;
Reconstitutions d’espaces : le café maure, le bain maure, la chambre de la favorite et la salle algéroise au 19e siècle qui est une reproduction du tableau de De la Croix. Toutes ces reconstitutions rappellent la vie et les occupations domestiques de l’époque.

De façon générale, dans le monument du Bardo, l’exposition ethnographique est divisée en quatre domaines :

Ethnographie citadine : On y trouve les reconstitutions déjà citées ainsi que l’exposition d’objets fabriqués et utilisés dans les milieux citadins : dinanderies, mobilier en bois, cafetières, encensoirs, costumes et leurs accessoires, armes et instruments de musique.
Ethnographie rurale : Cette partie concerne notamment les poteries, la vannerie, le tissage et la parure féminine. Ces différentes pièces très diversifiées et à décor généralement géométrique, caractérisant la production ethnographique de l’Algérie, proviennent de nombreuses régions du pays.
Ethnographie saharienne : On y retrouve également la vannerie fabriquée dans les régions sahariennes dépourvues de terre argileuse.
Ethnographie maghrébine : Le Musée National du Bardo abrite également de grandes et belles collections de provenance du Maroc, Tunisie, Libye et Mauritanie. Ces collections sont représentées par des céramiques, des bijoux, des costumes, etc. Une salle a été consacrée à l’exposition de ces pièces afin de montrer d’une part la ressemblance qui peut y avoir entre les produits de ces différents pays voisins et d’autre part la spécificité dans le travail de chaque.

Dans cette partie, une reconstitution a été réalisée dans la salle des Touareg, reproduisant la vie nomade ainsi que la production matérielle de cette population saharienne comprenant les costumes, le cuir, les ustensiles en bois, les pilons et mortiers, les selles de chameau, les jouets fabriqués par les enfants Touareg, les instruments de musique, les armes, etc.




LA FREQUENTATION DU MUSEE

Etant de réputation non seulement nationale mais également internationale, le Bardo est quotidiennement visité par les groupes scolaires, les touristes de différentes nationalités et les délégations officielles.
D’autre part, il est vrai que du fait de sa situation au centre ville d’Alger et du parking dont il dispose, le visiteur s’y rend à l’aise et sans le moindre souci.
Son grand jardin, très bien entretenu et également classé avec le monument, offre au visiteur un très beau cadre de repos et de confort.




LES ACTIVITES DU MUSEE

Comme tous les musées du monde, le Musée National du Bardo a pour tâche essentielle la conservation et la valorisation du patrimoine qu’il abrite.

D’autre part, le personnel scientifique du Musée, constitué de Préhistoriens et d’Ethnographes, qui veille à l’accomplissement de cette tâche, est chargé également d’autres activités qui sont :

Le travail d'inventaire de tous les biens culturels conservés au Bardo (identification de l’objet, marquage, archivage photographique, réalisation des fiches techniques, établissement de registres d’inventaire) ;
L’enrichissement de ces collections (fouille, achat ou autres) ;
L’étude de ces collections ;
Leur publication qui nécessite non seulement un travail bibliographique mais quelques fois aussi des missions sur terrain ;
Réalisations d’expositions temporaires (depuis quelques années, le Bardo en fait au moins trois par an) ;
Prise en charge des étudiants préparant des mémoires sur les collections du Bardo ;
Contribution aux documentaires nationaux et étrangers (chaînes de radio et télévisions) sur le Bardo et ses collections ;
Les visites guidées.




LES PROJETS DU MUSEE

Deux projets essentiels sont actuellement en cours de réalisation :

La restauration de tout le Musée par un bureau d’étude spécialisé ;
Le réaménagement par le personnel scientifique du Musée de toutes les salles d’exposition. L’objectif de ce projet est d’utiliser non seulement les techniques modernes des expositions mais aussi les méthodes d’exposition qui consiste à faire parler l’objet de lui-même et pour cette cause, le Musée National du Bardo, notamment en ce qui concerne la partie Préhistoire, a opté pour la méthode de la reconstitution.

Avec la salle de Tin Hinan, inaugurée le 18 avril 2005, le Bardo a réussi à faire un premier pas vers le réaménagement.
Source : archeonavale
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